~Les imams de France appellent au jihad~

Un document peu ancien, mais ça reste à voir pour les têtes d’abrutis qui ont un pois chiche microscopique dans le cerveau !

La gauchisme, qui a les pleins pouvoirs, ne va pas arranger les choses…

~Pétition contre la réforme Taubira à propos des mineurs multirécidivistes !~

Un peu longuet, mais il est urgent de signer la pétition, de transmettre ce message au plus grand nombre, utilisez tous les réseaux sociaux, publiez sur vos blogs et envoyez à tous vos amis…

Madame, Monsieur,
La nouvelle ministre de la Justice Christiane Taubira a annoncé que sa priorité est de supprimer les tribunaux correctionnels pour mineurs récidivistes.
Si elle passe à l’acte, les violences commises par les mineurs délinquants, qui ont déjà augmenté de 575 % en France depuis 19901, risquent de connaître une nouvelle flambée.
C’est pourquoi je vous invite à signer d’urgence la pétition ci-dessous, pour demander au gouvernement de renoncer à supprimer les tribunaux correctionnels pour mineurs récidivistes.
Nous pouvons l’obtenir car :

–    cette mesure ne figurait nulle part dans le programme officiel du candidat François Hollande ;
–    nous sommes en pleine campagne pour les élections législatives, et aucun parti ne peut se permettre de promouvoir des réformes fortement impopulaires ;
–    ce message a été envoyé à 1,7 millions de personnes, et nous pouvons déclencher un tsunami de pétitions si nous agissons tous maintenant.

On imagine parfois que les « mineurs délinquants » sont des petits garnements qui se font surprendre par un policier alors qu’ils viennent de voler une pomme à l’étalage, de casser une vitre en jouant au ballon, ou de faire des graffitis. Dans le pire des cas, on les voit voler une mobylette, arracher son sac à main à une vieille dame, cracher sur un passant.
Eh bien cette vision des choses est totalement dépassée, et si vous la présentiez à un surveillant travaillant dans un centre pour « mineurs délinquants », il vous rirait au nez devant tant de naïveté.
Car voici les faits :
Les mineurs ne représentent que 5 % de la population française, mais ils sont actuellement responsables2 de :

–    25 % des viols et agressions sexuelles
–    27 % des vols avec arme
–    34 % des cambriolages
–    35 % des vols de voiture
–    41 % des viols sur mineurs
–    44 % des incendies volontaires

Le jeune Matthieu qui avait avoué avoir violé et brûlé la petite Agnès, 13 ans, à l’automne dernier était un mineur.
Quelques mois avant ce crime abominable, il avait attiré une autre victime dans la forêt, où il l’avait ligotée, bâillonnée, puis violée avec des objets et sous la menace d’une arme.
Arrêté par la Police, il fut remis en liberté au bout de 4 mois par la Justice, sous prétexte qu’il était mineur, et fut autorisé à intégrer un internat mixte, fréquenté par de toutes jeunes filles. Il ne tarda pas à commettre un nouveau crime, toujours sous son statut de « mineur » (il a 17 ans) !
Dans le journal Le Progrès, le 2 février, vous pouviez lire qu’à Lyon, en pleine journée en centre ville, trois mineurs ont violé une fille de 15 ans. Ils ont eux aussi, été immédiatement remis en liberté, parce qu’ils étaient « mineurs ».
Peut-être avez-vous répondu à l’appel de Joël Censier, ce policier dont le fils Jérémy a été sauvagement assassiné par une bande. Eh bien, dans ce cas aussi, celui qui a fait preuve de la plus grande sauvagerie, qui s’est acharné à coups de poignards sur le corps de ce jeune garçon innocent, c’était un « mineur » !!!
C’est à ce type de cas que vous risquez d’être confronté si vous avez vous aussi un jour le malheur de croiser la route d’un de ces « mineurs délinquants ».

Une hausse à trois chiffres

Je vous disais que, entre 1990 et 2009, le nombre de mineurs mis en cause pour crimes et délits contre des personnes en France a augmenté de 575 %.
De toutes les catastrophes qui s’abattent sur notre pays, c’est donc celle qui s’amplifie avec le plus de violence.
L’évolution la plus inquiétante concerne les viols et agressions sexuelles : ces crimes ont diminué chez les plus de 18 ans mais ne cessent d’augmenter chez les mineurs.
Les violences commises par les mineurs sur les forces de l’ordre et les pompiers, elles, ont doublé entre 2003 et 20083.
Ces chiffres, je les donne pour faire taire définitivement les démagogues qui, quand on parle de criminalité des jeunes, expliquent que « la jeunesse a toujours été turbulente ». Non, ce que nous subissons dans notre pays n’est ni anodin, ni habituel. Par son ampleur et sa gravité, c’est un phénomène sans précédent historique.

Une évolution parfaitement prévisible

Et pourtant, lorsque vous êtes sur le terrain, comme les experts de l’Institut pour la Justice, vous constatez que cette évolution est parfaitement normale : elle est la conséquence directe du criminel laxisme dont font preuve les autorités publiques vis-à-vis des mineurs.
Dans deux cas sur trois, lorsque la police arrête un mineur, la Justice décide de ne pas engager de poursuites. Le jeune est renvoyé dans la rue.
Ensuite, lorsqu’un jugement se met en route, et que la culpabilité du jeune est prouvée et déclarée par le tribunal, aucune sanction réelle n’est prononcée dans plus de la moitié des cas :
Sur les 54 000 condamnations prononcées en 20094 :

–    13 000 mineurs ont bénéficié d’un sursis total ;
–    15 000 mineurs ont reçu une simple « admonestation » du juge (cela veut dire concrètement que le juge leur demande de ne pas recommencer) ;
–    Et 5 000 mineurs se sont simplement vu « remettre aux parents » (ce qui est considéré comme une « sanction » par la Justice).

L’illusion des « Travaux d’Intérêt Général »

On parle beaucoup des « Travaux d’Intérêt Général », comme s’il s’agissait de la panacée. La réalité, c’est que pour beaucoup de juges, condamner un jeune à des « travaux d’intérêt général » est encore trop dur. Dans leur esprit, cela s’apparente à du « travail forcé » qu’il faut éviter.
Résultat, les « peines » de travail d’intérêt général ne concernent que 3 000 jeunes chaque année5 (sur 215 000 arrestations !).
Il n’est pas étonnant, dans ces conditions, que plus d’un mineur sur deux « condamné » par la Justice récidive, le plus souvent juste après sa condamnation6.

La réalité des « prisons » pour mineurs

Si vous êtes surpris par ces informations, continuez à lire. Ce que vous avez lu n’est rien à côté de ce que je vais maintenant vous révéler sur les fameuses « prisons pour mineurs ».
Aujourd’hui en France, 800 mineurs sont en prison. On en fait beaucoup de cas dans les médias, où ils sont présentés comme des sortes d’enfants perdus, des « victimes de la société », dont personne n’a su, ou pu, prendre soin.
Là aussi, la réalité est tout autre :
Les « établissements pour mineurs » sont, de l’avis de tous les surveillants de prison, les prisons les plus difficiles à gérer, loin devant les prisons pour majeurs.
« Surveillants agressés, tentatives d’évasion, prises d’otage » y sont fréquents, et se multiplient, comme la presse l’a rapporté récemment (Le Figaro du 4 mai 2011).
Le problème n’est absolument pas la surpopulation carcérale : ces établissements sont au tiers vides.
Le problème est que, dans ces établissements, les mineurs jouissent d’une impunité inimaginable pour une personne de l’extérieur :
Les éducateurs et surveillants n’ont aucun moyen d’exercer leur autorité : pour obtenir une sanction même minime, comme la privation de télévision pendant un jour ou deux, il est obligatoire de réunir une commission de discipline (ce qui prend plusieurs jours) devant laquelle le mineur est obligatoirement assisté d’un avocat !
Un nouveau rapport du Sénat révèle7 que : « Un mineur qui dévaste toute sa cellule ne peut pas être placé en cellule de punition ». De même, un  « mineur qui, à table, lors du repas du soir, se lève, injurie ses pairs et jette sur le mur son assiette de nourriture, ne peut en théorie être puni immédiatement de travaux de nettoyage, voire d’une privation de télévision pour la soirée. »
Autre problème : comme les surveillants n’ont pas le droit de les fouiller au corps, tout un trafic de drogue se développe en toute impunité. Dans un rapport réalisé pour le ministère de la Justice, un surveillant explique : « aujourd’hui, tous les détenus mineurs, ils sont au parloir et hop, ils se mettent le truc dans l’anus, voilà »8.
Mais le moment où la politique publique vis-à-vis des mineurs délinquants devient une insulte à la figure du citoyen de base, c’est lorsque vous prenez connaissance de certains traitements de faveur dont ils bénéficient, au nom de leur « réinsertion ».

« On est en train de leur donner des goûts de luxe »

Les mineurs incarcérés bénéficient d’activités dont ne pourraient même pas rêver la plupart des adultes et enfants vivant à l’extérieur.
Les employés de l’administration pénitentiaire eux-mêmes ont dénoncé récemment le scandale des « ateliers de bien-être » pour les jeunes criminels :

« Une esthéticienne vient deux fois par mois leur faire des papouilles sur le visage. Vous et moi, on ne peut pas forcément s’offrir ça à l’extérieur. On est en train de leur donner des goûts de luxe. »9

Ils ont tous droit à la télévision, à des consoles de jeux vidéos. Dans les « centres éducatifs fermés », ils ont aussi accès, gratuitement, à des activités comme le kayak, la piscine, ou le golf10.
Un rapport officiel paru en 200411 donnait des exemples de séjours à l’étranger qui durent au moins 3 mois : raids en Finlande à ski de fond et traîneaux, voyage au Canada (région du lac Saint-Jean), marche dans le Haut-Atlas ou séjour au Sénégal (parmi les activités : visites, safari, balades en pirogue). Parfois, cela tourne mal, comme le précise le rapport :

« Partis de Martinique sur deux catamarans, les mineurs et les personnels éducatifs avaient abordé en Haïti. Sur place, l’un des mineurs s’est rendu coupable de vols, port d’arme prohibé, menaces à agents de la force publique et incendie volontaire d’un bâtiment administratif »12

Car évidemment, ces cadeaux ne leur rendent pas service. Au contraire, ils renforcent leur sentiment de toute-puissance, et les rendent encore plus violents.

Des méthodes qui rendent les jeunes encore plus violents

Un rapport réalisé par des chercheurs du CNRS, et rendu public en avril 2012 révèle à quel point les jeunes placés en Centre Educatif Fermé sont dans « un affrontement permanent avec les adultes », avec des récits « ponctués de situations d’insultes, de menaces et d’agressions envers eux » :

« Ainsi telle éducatrice nouvellement arrivée précise que « pendant les 15 premiers jours, j’ai oublié mon prénom parce qu’ils m’appelaient tous « sale pute » à longueur de temps. »13

Car de toute façon, il est interdit aux éducateurs d’avoir le moindre contact physique avec les mineurs délinquants, y compris pour récupérer un objet volé. Il suffit que les jeunes gardent l’objet sur eux et ils ne peuvent rien faire :

« On peut faire des fouilles dans les chambres pour tenter de les récupérer mais si  c’est caché sur eux, on ne peut pas les fouiller à corps. (…) on appelle la gendarmerie qui intervient, ne serait-ce que pour un recadrage. A la gendarmerie, certains ne comprenaient pas pourquoi on les faisait intervenir aussi souvent »14

Même le fait d’empêcher un mineur de s’évader de ces « Centres Educatifs Fermés » est impossible. Dans le même rapport, il est expliqué que :

« La politique du CEF le Marcellat consiste à ne pas opposer d’entrave physique aux tentatives de sorties illicites des jeunes. Si le franchissement de la porte est constaté par un membre du  personnel éducatif, celui-ci pourra suivre le jeune pour tenter de le convaincre de retourner au Centre. Dans le cas contraire, la gendarmerie est contactée. »15

Il y a seulement quelques jours, le 31 mai 2012, on apprenait à nouveau qu’un centre éducatif fermé avait été totalement vandalisé par ses occupants, à Combs-la-Ville. Sans surprise, les éducateurs présents sur les lieux, n’ont rien pu faire. Voici ce qu’a rapporté la presse :

Vers 0h30 dans la nuit de mardi à mercredi, les sept mineurs délinquants multirécidivistes placés au centre éducatif fermé (CEF) de Combs-la-Ville ont saccagé leur établissement.
« Ils l’ont tagué, ils ont cassé les vitres des chambres et des cuisines, dont certaines étaient en double, voire triple vitrage… décrit Jean-Michel Tavan, directeur de l’Association de sauvegarde de l’enfance et de l’adolescence (Adsea 77), qui gère le site. C’est monté en puissance, avec une dynamique de groupe. La situation devenant trop risquée, le nouveau directeur a décidé d’appeler la police. Heureusement, les jeunes ne s’en sont pris qu’au matériel, pas au personnel. »16

Et c’est pourquoi je vous pose la question : est-ce vraiment le moment de supprimer les tribunaux correctionnels pour mineurs, qui ont été créés en 2011 pour apporter davantage de fermeté vis-à-vis des récidivistes de 16 à 18 ans ?
Faut-il considérer, comme semble le faire la nouvelle ministre de la Justice Christiane Taubira, que ces jeunes ne sont après tout que de « grands enfants », qu’il ne faut surtout pas les juger dans des tribunaux qui risqueraient de les sanctionner à la mesure de la gravité de leurs actes ?
Auriez-vous le sentiment que la situation actuelle est encore trop « ferme » vis-à-vis d’eux, et que réduire encore (si c’est possible) les possibilités de sanctionner les mineurs délinquants serait un service à leur rendre ?
Ou choisiriez-vous au contraire de taper du poing sur la table, et de faire preuve, enfin, d’un peu de responsabilité et de fermeté face à cette situation absurde, ne serait-ce que pour protéger des jeunes filles et des citoyens innocents ??
Dans quelques jours auront lieu les élections législatives : c’est le moment où les élus sont le plus à l’écoute de la population et le moment idéal pour obtenir de la garde des Sceaux qu’elle renonce publiquement à son projet.
Si nous ne déclenchons pas aujourd’hui un mouvement de protestation massif contre la suppression des tribunaux pour mineurs délinquants, le gouvernement n’en fera qu’à sa tête dès que les élections seront passées.
En revanche, si nous agissons tous ensemble maintenant, nous pouvons être entendus.
Encore une fois, ce message a été envoyé à 1,7 millions de citoyens, ce qui peut avoir un impact considérable si nous sommes nombreux à participer, en cliquant ici pour envoyer votre pétition signée à Christiane Taubira.
Ce type d’occasion ne se présente pas souvent.
Si vous relayez ce message auprès de vos proches, et si tout le monde fait de même, l’effet de notre mobilisation en sera encore décuplé.
Je compte sur vous,
Laurence Havel
Institut pour la Justice

~Le Londonistan, la réalité de l’islamisation de la Grande-Bretagne (HD)~

Nous n’entendons plus parler des prières de rues en France depuis quelque temps, mais ce n’est que la partie visible qui faisait désordre qui a été interdite. Je ne sais pas ce qui a été accordé aux islamistes pour qu’ils acceptent de renoncer à la guerre de la visibilité qui était engagée (j’y suis, j’y reste), et quoi que ce soit nous finirons par le savoir…

Mais, si nous écoutons cette vidéo, nous voyons bien que rien n’arrêtera les fanatiques, et qu’il faut s’attendre à d’autres débordements jusqu’au but final, qui est de mettre la main sur Buckingham Palace, sur la Maison Blanche, sur le MONDE !

~Ultranationalistes vs Islam Radical ( Angleterre)~

~Bulgares VS Musulmans à Sofia~

La version n’est pas en français, mais tout le monde comprendra sans problème qu’à force de provoquer….  C’est le même bazar partout, la pression monte, et tout ça finira mal !!!

~Quand l’origine ethnique remplace l’origine de classe ~ C’est la colonisation positive~

A partir de l’instant où les origines ethniques remplacent les compétences, nous ne sommes pas très loin de la chute. La colonisation, nous sommes en plein dedans, et celle-ci ne nous apporteras pas de lumière(s) !

Voilà ce que j’appellerais le résultat de « la gauchitude » rattrapée par la réalité, le résultat de folles années à plaider le multiculturalisme forcené. Au final tout ça n’aura servi qu’à instaurer plus de haine des blancs, et nous amener des idéologies d’un autre temps sur le territoire. Je vais vous faire un aveu, je voudrais pouvoir revenir 40 ans en arrière pour avoir la chance de vivre encore dans un pays tranquille. Nos enfants ne connaitrons jamais ce bonheur. C’est vraiment une politique de merde !

« Chronique de Brice Couturier du 1er juin 2012

La une du quotidien Libération d’hier a provoqué un débat sur la Toile qui n’est pas prêt de s’arrêter. Reprenant une critique émise la semaine dernière par SOS Racisme, Libé pointait, en effet, « le nombre infinitésimal de membres de cabinets ministériels issus des immigrations maghrébine et africaine, ainsi que des Dom-Tom ». Ainsi, relevait le quotidien de gauche, si la parité hommes/femmes est scrupuleusement respectée en ce qui concerne les membres du gouvernement (17 femmes pour 17 hommes), si « jamais un gouvernement n’avait accordé autant de place aux Français issus soit de l’immigration, soit des départements d’outre-mer », force est de constater que « cette diversité est quasi-absente des cabinets ministériels ».

Comme la gauche a changé en 30 ans. Les équilibres auxquels devait veiller un Pierre Mauroy en 1981 concernaient d’abord les régions (il fallait équilibrer les ministres bretons (Louis Le Pensec) par des ministres élus des régions de l’Est (Jean-Pierre Chevènement) et un Toulousain (Alain Savary) par un Savoyard (Jean-Pierre Cot). Mais il fallait aussi respecter le dosage entre les courants du PS, tels qu’ils s’étaient dégagés du dernier congrès du parti, tout en faisant leur petite place aux alliés communistes, et en n’oubliant pas les strapontins destinés au MRG.

A présent, donc, l’important est de composer un cabinet où les femmes et les hommes sont en nombre égal et où « les prénoms de consonance non francophone » atteignent un certain seuil — puisque c’est le critère retenu par Libération, qui semble négliger le fait que bien des personnes issues de la « diversité » ont des noms plus franchement francophones que bien des Français de dixième génération… Quelle est la proportion qui semblerait correcte au quotidien de la gauche bobo ?

On ne sait pas, puisque, jusqu’à nouvel ordre, les statistiques mesurant la proportion de Français issus de telle ou telle immigration, arborant telle ou telle couleur de peau, sont interdites par nos lois républicaines. Reste donc cette analyse des clivages de la société en termes de genre et d’appartenance ethnique, qui est une nouveauté, à gauche, où l’on raisonnait traditionnellement en termes de classe sociale, de position occupée au sein des rapports de production, ou de propriété du capital..

Pourquoi le genre ou la couleur de peau seraient-ils davantage qualifiants, pour participer aux équipes gouvernementales que d’autres critères, comme, par exemple, l’appartenance au monde de l’entreprise privée plutôt qu’à la haute fonction publique ?

Pour redresser un pays dont la compétitivité s’écroule, et dont les industries se délocalisent, l’urgence est-elle d’augmenter le pourcentage d’énarques issus des Dom-Tom ou de l’immigration dans les cabinets ministériels ?

Depuis quand un ouvrier, mâle et blanc, tombé au chômage en Lorraine est-il socialement moins estimable qu’une jeune femme d’origine maghrébine, issue du meilleur milieu et habitant le centre de Paris ?

La substitution de l’identité de genre ou d’ethnie à l’appartenance de classe témoigne d’une évolution idéologique d’une partie de la gauche. Celle pour laquelle le multiculturalisme remplace le bon vieux socialisme, la diversité, la justice sociale.

Mais elle répond aussi, comme en écho, au discours d’une droite qui, l’échéance électorale approchant, a paru tentée par les appels du pied identitaires aux « Français de souche », présentés comme menacés par l’immigration d’origine extra-européenne.

A force d’exalter « l’identité » supposée des autochtones, ne risque-t-on pas de provoquer, par un effet de boomerang, le raidissement identitaire des nouveaux Français sur leur propre culture d’origine ?

Après avoir mis en avant la « promotion de la diversité », proposé un concept de « laïcité positive », Nicolas Sarkozy a paru faire machine arrière en cherchant dans l’islam la figure de l’ennemi. Et vous-même, Claude Guéant, ne portez-vous pas une responsabilité dans la montée de ce clivage qui menace de métamorphoser notre République, « une et indivisible », en une mosaïque de communautés, revendiquant pour elles-mêmes des places et des privilèges ?

Aujourd’hui, des lois mémorielles, demain des lois catégorielles ? »

~Attaque des salafistes sur les assises de l’islamisation ~ A Vannes~

A Vannes, ils ont été vannés…

 

Le samedi 2 juin 2012 se tenaient, à Vannes, les assises bretonnes sur l’immigration. Pendant ces assises, à laquelle ont pris part les militants de Jeune Bretagne, d’Adsav et de Résistance Républicaine, une quarantaine de salafistes ont cru bon de vouloir attaquer les participants. Cette vidéo retrace leur attaque ainsi que la réponse sans concession des militants bretons présents sur place. Les bretons sont et resteront maîtres chez eux !

Vidéo prise après les émeutes qui feront 3 blessés grave dans les rangs des agresseurs, qui ont du rebrousser chemin face aux militants d’Adsav! ppb et Jeune Bretagne!

~Et s’il y avait une autre manipulation des médias en Syrie ?~

Je crois qu’il serait bien à un moment de se poser quelques questions sur la « révolution syrienne », et envoyer BHL au placard avant qu’il ne fasse partir nos soldats en Syrie sur une subite « illumination » dans son parcours de remplacement dictatorial. Il aime bien jouer le grand seigneur qui apporte la démocratie, mais sur son chemin il n’y a qu’esbroufe, coups médiatiques, enrichissement personnel, et utilisation des médias et d’une clique de nègres à sa botte… Bref « mensonges » sur toute la ligne : la pseudo « œuvre » et la vie du personnage (suivre le lien) !

Lorsqu’on voit avec quelle maestria les palestiniens manipulent les médias ; lorsqu’on voit que les nouveaux régimes des pays « révolutionnés » sont repris par les islamistes ; lorsqu’on voit que les manifestations ont toujours lieu le vendredi après la prière ; lorsqu’on voit s’aligner les victimes et en particulier les enfants ; lorsqu’on sait que la vie n’a pas la même valeur dans le monde arabe que chez nous ; lorsqu’on est un minimum doté d’intelligence (ce qui ne semble pas être le cas de l’opportuniste BHL au dire de ce qui est écrit), on réfléchi avant d’agir….

Il faut y réfléchir d’autant plus que personne ne dit les noms de ceux qui sont à la manœuvre pour faire tomber le régime, et qui sont tout autant responsables du chiffre des victimes en Syrie. J’ai le sentiment qu’il nous manque une donnée du problème, et pas des moindres pour comprendre cette nouvelle forme de guerre : essentiellement psychologique par l’utilisation des médias pour culpabiliser les occidentaux…

Que nous le voulions ou pas, nous sommes mis à partie stricto sensu !

Sarkozy est tombé dans le panneau, parce que BHL l’a persuadé d’endosser « sa guerre », et nous savons tous ce qu’il en a coûté aux contribuables, pour au final que des armes (dont 10.000 missiles perdus) circulent dans le milieu des salafistes africains….

Qu’elle sera l’attitude de François Hollande, soumis aux même pressions guerrières de l’excité, lui qui a voulu en finir avec le conflit en Afghanistan ?

Et, pour finir, personne à ce jour ne peut prévoir ce que ces bouillonnements auront comme impact au niveau de la géopolitique mondiale, ou dans la sphère du Proche-Orient ??? 

~L’islamisation de Clermont Ferrand~

Commentaire sous la vidéo :

« Samedi 14 janvier 2012 Clermont-Ferrand
Prés d’un millier de manifestants se réunit sur les marches de la préfecture, symbole de l’État , à la suite de la mort de Wissam El-Yamni. Aux premiers rangs,la famille du jeune homme décédé après une interpellation avec rébellion et traces de consommation d’ alcool,cannabis et cocaïne ( selon les information de l’ enquête en cours). On notait également les parents de 2 « jeunes » décédés récemment dans un accident de voiture, ils fuyaient un contrôle de police . Il y avait aussi le trotskyste de service et bien sur les dévoués avocats , sans oublier les habituels « soumis » !

Évidemment, on eu droit au cri de ralliement bien connu et bien républicain : ALLAH AKBAR ! et à la prière des Musulmans , sans émouvoir le trotskyste . La police fut conspuée sans émouvoir non plus les autorités . Mais au fait où étaient les autorités ?

On ne voyait aucune force de police , l’ ORDRE étant assuré très efficacement par les « jeunes » . Non, seul un mauvais esprit pouvait penser que les mêmes brulaient des voitures la nuit . Durant 2,3 heures le cœur de la capitale régionale leur a appartenu …

Il n’ y eu aucun incident , on vit une foule nombreuse très bien encadrée et contrôlée, on peut donc se demander pourquoi ce contrôle n’ est pas utilisé les soirs d’ émeutes ? Est-ce délibéré ?

Bien sur les organisateurs en profitèrent pour inciter au vote . Quand on voit que les Tunisiens de France ont voté massivement pour les Islamistes , on peut penser qu’ il est grand temps de réagir .

Quant aux autres , vous savez :
Ceux qui travaillent, payent leurs impôts, leurs taxes, leurs amendes, s’ arrêtent aux contrôles de police, ne cachent pas leurs femmes et veulent vivre chez eux selon leur civilisation et leurs coutumes , ou étaient-ils ?

Le Bloc Identitaire Auvergne, avait demandé l’ autorisation de les représenter par un rassemblement devant la préfecture et un dépôt de motion de soutien non pas aux émeutiers mais aux policiers, gendarmes , CRS et pompiers garants de notre sécurité .
Le préfet a estime que c’ était un risque de trouble à l’ ordre publique Sans doute ne parlons-nous pas du même ordre .

Pour nous, Identitaires , Auvergnats, Français et Européens entendre clamer ALLAH AKBAR sur les marches de la préfecture de notre préfecture c’ est avant tout une MENACE, ne pas réagir d’est déjà être un dhimmi.

~Les crimes d’honneur islamiques en Europe ~ Le martyre des musulmanes~